Mission Ike
Après la réussite de l'exploration de Laythe, nos ingénieurs n'ayant plus d'objectif particulier se sont chacun dispersé sur des projets différents.
Quelques-uns s'occupe de la création de véhicule d'exploration de Kerbin, d'autres planchent sur différent type de sonde longue portée pour étudier le fin fond du système Kerbolien, d'autres encore sur l'exploration habitée des astres non exploré.
Le président ayant à l'heure actuel aucun projet lui tenant à cœur, il laisse donc les ingénieurs laissé libre cours à leur imagination, avec un peu de chance quelque chose de potable pourrait naitre de leurs délires respectifs.
Et c'est sans s'y attendre qu'un beau matin un ingénieur débarque à toute allure dans le bureau du président, sois disant qu'il aurait conçu une fusée capable d'effectuer un aller-retour Kerbin/Ike avec à son bord un pilotes qui y posera le pied.
Ike n'étant pas l'astre préféré du président, il accepta tout de même d'envoyer un jeune pilote puisque de toute façon en ce moment il n'y à rien d'autre de prévus.
C'est ainsi que La mission Ike se retrouva sur le pad de lancement, à son bord un jeune pilote du nom de Ferdon Kerman. A peine sortie de l'académie le matin même, il ne sait pas réellement pourquoi il est assis dans ce cockpit.
Après un bref briefing de la mission, Ferdon s'apprête à décoller. Le centre de commandement est prés également, lance le compte à rebours.
Et décollage...
La mise en orbite demande encore moins de carburant que prévus.
Il est donc temps de dire au revoir à Kerbin.
Ferdon enclenche les propulseurs et c'est partie.
Petit passage habituel par Mun qui nous fait économiser un peu de carburant.
Et le vaisseau se retrouve dans l'espace profond en attente du moment propice à l'injection trans-Dunaire. Pendant ce temps Fredon est prié d'attendre sans trop se plaindre, le centre de commandement n'a pas que ça à faire.
Après quelque temps de voyage, l'heure de l'injection est venue, Ferdon est réveillé par le centre de commandement, et est prié de se mettre dans l'axe.
Le carburant restant dans les moteurs conventionnel est utilisé,
Puis les moteurs nucléaires prennent le relais.
Après plusieurs mois de voyage, Ferdon qui commence à s'ennuyer ferme est prié par le centre de commandement de regarder par le hublot.
Enfin Duna et Ike sont en vue et dans le bon axe.
Quelques manœuvres sont nécessaires.
Et l'orbite d’Ike est atteinte.
Ferdon qui à hâte d'aller se dégourdir les jambes, sépare le lander du reste du vaisseau, et descend vers la surface.
Le faible gravité rend l'atterrissage très facile. Heureusement car Ferdon n'a pas eu le droit à des essais en simulateurs.
Il est temps pour notre jeune pilote de sortir explorer les environ.
Moment solennel, Ferdon Kerman dépose le drapeau de la compagnie surveillé par Duna.
Le site fut rebaptisé, Les plaines noires d’Ike.
Avant de reprendre la route, le centre commandement autorise Ferdon à s'amuser un petit peu, la faible gravité est très amusante avec le jet pack.
Donc après quelques heures à s'amuser un peu, quelques récoltes d'échantillon et autre donnée scientifique, il est temps pour Ferdon de rentrer à la maison.
L'orbite est facilement atteinte, et la trajectoire de rendez-vous avec le reste du vaisseau également. Aidé par le centre de commandement, Ferdon réalise son docking avec une facilité déconcertante pour un jeune pilote.
Le reste du lander est éjecté (non sans avoir oublié de transférer le carburant restant vers les moteurs atomiques), seule la capsule contenant le pilote est conservée.
Petite poussé pour sortir de l'attraction de Duna et Ferdon se retrouve encore une fois à patienter des semaines dans une petite capsule exigu.
L'injection trans-kerbinienne est effectuée quelques semaines plus tard, l'attente est interminable mais quelque temps plus tard, Kerbin est enfin en vue.
La trajectoire nous emmène directement dans l'atmosphère pas besoin de rectifier. Kerbin grossis peu à peu dans le ciel.
La rentré dans l'atmosphère détruit les panneaux solaires, de toute façon il ne serviront plus.
Ferdon se sépare alors du reste du vaisseau,
Les parachutes se déploies, la capsule amerrie sans problème Ferdon est de retour sain et sauf sur Kerbin la mission est un succès.
Grace à ce test pratique la compagnie dispose désormais d'un nouveau vaisseau one-launch permettant d'explorer les lunes des planètes voisines.
Le V-plane
Pendant le temps de la mission Ike, sur Kerbin nos ingénieurs centrés sur l’exploration de kerbin nous ont pondus un projet plus qu’ambitieux.
Le premier avion à décollage vertical de notre compagnie.
Il décolle grâce à ses deux réacteurs positionné sous ses ailes.
L’équilibre est plutôt stable, mais il est recommandé d’enclencher le SAS et de pointer le nez de l’avion légèrement vers le haut.
Une fois en vol on active le moteur arrière, et après avoir acquis suffisamment de vitesse horizontale, les propulseurs sous les ailes sont coupés.
L’atterrissage n’est pas une partie de plaisir pour nos pilotes qui ne maitrise pas bien encore l’appareil.
Mais le V-plane atterrie sans soucis.
Le président impressionner par ce vol (fut-il de courte durée) valida le prototype, le V-plane fait désormais parties de notre hangar.