Dakitess a écrit :As tu du avoir recourt a des astuces genre empilement fusionne d'entrée d'air ? Juste a titre indicatif pour savoir de quoi il retourne.
Donc c'est un décollage vertical ? Tu allumes tout des le départ ? Tu coupes les atmos a quelle altitude ?
Effectivement : le Module noir à l'avant est un savant empilement de prise d'aire: Il y en à environs 70 ; Sans compter les prise d'aire à l'arrière qui alimentes les moteurs radiale : environs 25.
Il y en à à l'avant aussi quelque prise d'aire radial
Oui c'est un décollage verticale lancé depuis une structure de lancement: Il n'est pas conçu pour attérir pour le moment

mais pour faire croisade dans l'univers. ils seras capable de prendre des vaisseaux avec luis, des sondes ou des Armes.
Pour le départ, je met pleins gaz:
Une fois un moteur atmosphérique arrière affiche 110 k/Nw de poussé , la poussé est suffisante pour décoller du sol. Cependant je met un petit coup de boost avec Le moteur principale pour ne pas se cogner contre la structure de lancement.
Une fois fois arrivé à 10 000 m (110 ms au compteur) il est temps de prendre de la vitesse latéral. Vers 20 000 m je coupe les moteur radial qui commence à merder. Les moteurs arrière remplace suffisamment la pousser cependant j'active les moteur atomic pour ne pas perdre de vélocité verticale trop rapidement en commençant à brûler l'oxidizer.
Arrivé à 30 0000 m j'active le moteur principale pour gagner en vitesse le plus rapidement possible avant que les moteur atmosphérique commence à manquer d'aire
45 000 m, petit virage vers le ciel à 45 ° . La plus part des moteur atmosphérique commence à rendre l’âme mais quelque un subsiste. Le fais que la poussé viens de l'arrière, je n'ai pas trops de mal à contrôler le bazar même si 2 moteur fonctionne à droite et 5 à gauche.
60 000 m : je prend le plus de vitesse possible: je devrais atteindre 73 000 m d'après les prévisions: Je finiôle avec les moteur atomic en arrêtant le moteur principale . Pour finir il manque 200 m/s pour l'orbit, un coup de boost avec le moteur principale ... et voilà !
C'est très technique, pas simple , la moindre erreur et c'est le plouf de l'amour dans la mer de kerbin. Franchement, ça commence à devenir du haut niveau de pilotage plus c'est gros.