Hop, j'enchaine avec mon tout nouveau ravitailleur ! Les besoins grandissants chaque fois un peu plus, nous avons cette fois visé 3 réservoirs oranges pleins ainsi que du RCS à gogo, à placer sans y toucher (ou presque) à minimum 350000m.
Ce fut étonnamment simple ! En parallélisant un maximum, nous sommes parvenus en deux essais à la version fonctionnelle suivante :
A l'approche du Huge Carrier :
Il a été conçu comme 3 réservoirs parfaitement indépendants : après découplage, si désiré, l'utilisateur dispose donc de 3 larges ravitailleurs opérationnels, alimentés en électricités, contrôlable par l'ordinateur embarqué, agissant sur les 2 groupes de 4 propulseurs RCS. Le dock proposé est ici le large car il correspond à tous les projets actuels de la Dakitess Corporation.
Toutefois il est parfaitement (j'insiste et m'en étonne) maniable, permettant de l'acheminer sans le moindre mal vers le module orbital à ravitailler. La manœuvre se fera en douceur, et ce sont plus de 120 tonnes qui s'arriment en une fois.
Il a été décidé de doter chacun des 3 réservoirs de propulseurs Poodle, de sorte à les munir d'un moyen de déplacement. Ces derniers permettent également les manœuvres finales, de sorte que nous admettons entre 3 et 10% de perte en carburant, tout à fait négligeable sur un tel volume.
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Malheureusement... Après Refuel total du Huge Carrier (3 ravitailleurs triples, en ayant 1 réservoir de rab' au terme) nous avons acheminé la colonne contenant les 4 avions atmosphériques. Tout s'est bien déroulé, mais le lag annonce dors et déjà qu'en l'état, il ne serait pas envisageable d'amener une autre colonne, toute plus lourde (nombre de parts...) que celle en place.
Au préalable, un réservoir avait été découplé du ravitailleur triple, et stocké au centre en attente d'un éventuel ravitaillement de réservoir supplémentaire. De même, une barrette de 4 sondes ioniques a pris place sur les docks classiques de la face avant du croiseur, afin d'en diversifier la portée, et de prévoir la mission future. Cette barrette ne sera pas symétrique, car elle vient compenser le déficit de masse de la colonne des avions face à la prochaine, plus conséquente et lourde. Le but étant bien sur de conserver un centre de masse aussi aligné que possible avec la poussée des 6 réacteurs nucléaires.
Nous avons fait le choix d'embarquer 3 colonnes différentes au lieu de 2 symétriques plus 1, pour le défi dans un premier temps, et pour disposer d'un convoi le plus complet possible, lors de notre départ vers Laythe.
Cela ne sera toutefois éventuellement possible que dans 1 mois, à mon retour au bahut, si les PC savent gérer quelques 800 parts que demande cet ensemble.
... Dégoûté
