Dakitess Corporation [NEW : Showcase du DeltaVee, 1000t SSTO to the mun !]
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
Ben je m'appui sur les structures de rigidité disponibles quoi. Pour des trucs très verticaux c'est assez essentiel. Ouais c'est sur que j'envoie pas des carrés super large et bas quoi ^^
Je préfère vraiment monter en asperge, tous les éléments présence sont reliés en matière de carbu et dimensionner pour un TWR a la reprise d'a peine plus de 1 : ils reprennent globalement a la vitesse de l'étage lâché, et commencent leur propre accélérations.
Je préfère vraiment monter en asperge, tous les éléments présence sont reliés en matière de carbu et dimensionner pour un TWR a la reprise d'a peine plus de 1 : ils reprennent globalement a la vitesse de l'étage lâché, et commencent leur propre accélérations.
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
Fuck, désolé...
J'en profite pour répondre a VDD : ouais tant pis j'suis mauvais en habillage donc j'essaie plus, full fonctionnel. Oui une pièce, j'en ai chie j'admets, mais c'est en orbite bien circulaire a 240 km.
J'en profite pour répondre a VDD : ouais tant pis j'suis mauvais en habillage donc j'essaie plus, full fonctionnel. Oui une pièce, j'en ai chie j'admets, mais c'est en orbite bien circulaire a 240 km.
Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
C'est un style mais je préfère les gros rectangles ^^
Habile pour l'orbite ! Moi je ne dépasse pas les 100km pour un croiseur one launch !
Habile pour l'orbite ! Moi je ne dépasse pas les 100km pour un croiseur one launch !
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
De retour dans la soirée en France, je profite enfin d'un Wifi libre dans un centre commercial
si j'ai le temps, je vous poste une petite mission sympa ce soir. Pour la 0.21, je me tâte allègrement. J'avais hâte, mais vu la sortie du patch super rapide, je vais peut être patienter une semaine de plus...
J'ai hurle ”SQUAD" dans les rues d'Espagne, ça n'a rien donné, je comprends pas, ils ne doivent pourtant pas être bien loin x)
A bientôt les loulous !

J'ai hurle ”SQUAD" dans les rues d'Espagne, ça n'a rien donné, je comprends pas, ils ne doivent pourtant pas être bien loin x)
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
Hey ! Je suis aussi en Espagne (près de Barcelone) !
Demain je pars en stop pour un fest à Quimper, il me faudrait une fusée.
Bref petit HS vacances !
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
T'as pas un croiseur qui t'attend, Warning en marche, mal garé sur le trottoir ? X)
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
C'est parti ! Une mission pas forcément bien extraordinaire, mais que j'ai pris grand plaisir à orchestrer. Il manque pas mal de Screens, mais il y en aura déjà trop pour que ce soit parfaitement digeste, pardon d'avance donc ^^
Il s'agissait d'une première pour la Dakitess Corporation : se rendre sur ce gros caillou qu'est Gilly. Naturellement, nous étions intéressés avant tout par sa très faible gravité, et avons choisi de voir cela de plus près. Une double sonde ionique s'est rendue sur place afin de procéder aux premiers relevés. Double car l'une des parties du corps s'est détachée, et mue par du monopropellant et un unique propulseur, elle est venue percuter le sol de plein fouet afin de dégager quelques particules. La seconde sonde à alors pu récolter le nécessaire, procéder à quelques analyses, renvoyer quelques résultats, avant de s'éteindre.
J'suis un peu deg', aucune image de cette première phase marrante (mais si mais si) car je les avais placé sur une clé que j'ai du formater par dysfonctionnement irrécupérable ;(
A la suite de cela, et selon les premières analyses, nous avons décidé de dépêcher un Kerbonaute sur place, pour le challenge avant tout, mais également pour mesurer les effets d'une quasi absence de gravité sur le corps. La mission prévoyait une isolation totale sur le sol de Gilly pendant 3 ans. La mission fut un succès sans accroche, une partie est restée en orbite, capable de rapatrier le vaillant kerbonaute jusqu'à Kerbin. La capsule au sol est parvenu en douceur à l'aide de propulseur RCS monodirectionnel.
Pourtant, plutôt que de finaliser cette mission comme prévu, la DC a estimé judicieux de travailler sur un Rover capable de se mouvoir sur le sol de Gilly. Dans cet objectif il a fallut songer à un moyen permettant de plaquer tant bien que mal le véhicule au sol pour palier à la gravité bien trop faible. 2 moteurs ioniques orientés vers le bas nous ont semblés adaptés, et feront leur preuve sur place.
Mais maintenant, un peu d'image pour les moins motivés par la Lecture

Nous commençons directement par cette phase 3 de la mission, qu'est l'envoi du Rover. La phase deux reprend les mêmes étapes en moins intéressant, avec l'acheminement d'une capsule habitée... Et y'aura bien assez d'image comme ça. Au sommet du lanceur, la charge utile, le rover. La mission est inhabitée, puisque à destination du kerbonaute déjà sur place.

Parvenu aux abords d'Eve, le module interplanétaire est composé de la charge utile, le Rover et son équipement, et son déplacement est garanti par une propulsion mononucléaire. Le carburant embarqué prévoit une compartimentation favorable à la mission, les deux réservoirs latéraux devant être largués pendant le rétrofreinage dans l'atmosphère d'Eve :

Ca chauffe dur !

Une fois en orbite stable autour de Gilly, à quelques 50 km au dessus de sa surface irrégulière, la charge utile est découplée. Au préalable, 95% du carburant du petit réservoir est transféré, Gilly ne nécessitant qu'une quantité ridicule de carburant et puissance, pour manœuvrer dans son voisinage.

La descente s'effectue bien lentement, surtout à cause du WARP inactif en deça des 8000m... Arf, on en vient même à accélérer vers la surface ^^ Le réservoir du dessous et son propulseur sont vite détachés, et ce sont deux propulseurs latéraux, oranges, qui prennent le relai, tirant leur carburant des minuscules réservoirs toroïdaux sur les côtés. A terme, ce sont mêmes les RCS qui s'avèrent de loin suffisant pour un atterrissage en douceur.

Sur ce gros rover à très large empâtement, nous retrouvons un pod habitable confortable et tout l'équipement nécessaire : alimentation radioisotopique, panneaux photovoltaïques, lumières, instruments scientifiques, pieds escamotable pour position fixe station... ET ! Les deux fameux propulseurs ioniques profitant chacun d'un réservoir au xénon, surpassant de très loin les besoins mais Eh ! La masse supplémentaire induite était pratiquement négligeable. Ces derniers sont directement alimentés par les deux vastes panneaux dépliants qui permet une fonctionnement pleine puissance en plein soleil, une fois ajouté la production des piles atomiques en présence. Et ça marche... Ca remplit tout à fait son office ! Faites bien attention à centrer la poussée avec la masse tout de même

Le rover parcourt en automatique les 9 kms qui le sépare de la capsule habitée dans laquelle sommeille paresseusement le Kerbonaute envoyé 3 ans plus tôt, sans compter son voyage. Le voyage s'effectue sans encombre, je suis étonné d'être parvenu à tenir une moyenne très très raisonnable de 12 m/s avec quelques pointes à 15 m/s. Inutile de mentir, le rover est autant dans les airs qu'au sol, mais avec l'ASAS et votre vigilance, il gardera toujours le cap sans jamais sourciller, malgré le dénivelé affreusement irrégulier et chaotique de Gilly ! Une vraie satisfaction. En outre, je parle des décollages, mais couper les propulseurs ioniques et vous verrez que les sauts de puces se transforment sans souci en désorbitation franche et nette :p

Le kerbonaute rejoint la nacelle habitable et part faire quelques tours pour finaliser les relevés. Heureusement qu'il avait son Kermis de Konduire le bougre ! La mission n'avait pas été planifiée ainsi...

Une fois son travail terminé, c'est avec fébrilité qu'il enclenche la procédure d'orbitation... La nacelle se sépare alors de son socle, et s'élève dans les airs par la force des propulseurs RCS ! Seul le strict nécessaire demeure, et cet allégement sans concession procure une efficacité fulgurante au module. Sur les 172 unités de monopropellant, seules 10 seront utiles à la circularisation et 4 pour la manœuvre d'approche et le docking... Décidemment, Gilly surprend et choque le sens commun en proposant des grandeurs jamais rencontrées auparavant !

Ces retrouvailles seront d'ailleurs un jeu d'enfant, emprunt de légèreté... Le module assemblé obtenu est bien plus léger qu'à l'aller et nos estimations devraient être largement correcte pour retourner vers Kerbin.

D'ailleurs la voila ! Un aérofreinage de rigueur, et nous nous retrouvons bien vite en trajectoire elliptique, capturée par la planète. Les réserves sont largement suffisantes à une circularisation propre, pour mener à bien dernier rendez-orbital... Car en effet, les parachutes de retour à Kerbin ont été honteusement oublier. La première idée fut d'acheminer une de nos navettes sans pilotes toujours en orbite à différentes altitudes. Mais une idée à germée dans la tête d'un de nos ingénieurs : pourquoi ne pas élaborer un module indépendant qui remplirait l'office de retourner une charge au sol de Kerbin ? L'équipe s'est alors chargée de réaliser un tout petit module disposant d'un dock moyen. Sur sa structure fiable, 4 parachutes latéraux et un bouclier thermique. L'objectif fut donc de docker le module habité à cette petite excroissance, ce qui fut fait sans grande difficulté. Au préalable, des tests ont été effectués avec la même charge et le même système, pour vérifier que la liaison dock ne s'arracherait pas à l'ouverture des parachutes. Un véritable succès !

Le nouvel ensemble est désorbité de manière peu conventionnelle : plutôt que d'opérer aux RCS qui auraient été suffisant, un pilote à terre à décider de manipuler le bloc propulseur final du module-parachute, et de l'accoler délicatement sous la nacelle. Ainsi, et même sans dock, il est parvenu à désorbiter le système en moins de 10 secondes. Cette opération lui aura valu un renvoi sans concession de nos bureaux, mais la prouesse à suffisamment fait parler de lui pour qu'il trouve du travail dans l'heure qui suivait...

Les différentes phases de l'ouverture, qui s'est déroulée sans le moindre souci. Au touchdown final, la couple du bouclier est détachée pour ne pas peser sur la structure, et s'affaisse d'un côté pour proposer une protection solaire au kerbonaute fatigué, le temps du rapatriement.

Notre équipe a jugé que cette opération était l'opération rêvée de lancer notre nouvel appareil ultra sécurisé de récupération au sol. D'une stabilité remarquable, ce modèle bi place à grande portance se verra attribuer une article en première page, très probablement. Toutefois, et malgré l'expérience de nos pilotes en matières de vol parabolique, l'autonomie de cet appareil s'avère insuffisante pour un retour. Il est décidé de parcourir la moitié du chemin et de se poser une lagune de sable, le temps d'acheminer un nouvel avion.

Le Bi-Kerbin Explorer remplira ce rôle à merveille. Issu du Kerbin Explorer dans sa version "Ascension", cet appareil prévoit deux places et un vol très fiable. Son autonomie lui permet de parcourir tout le globe et d'en revenir, avec une marge de sécurité. Lui aussi aura certainement droit à son billet dans les jours qui suivent.

Sur le tarmac, c'est dans une joie contenue par le protocole militaire que nos deux vaillants explorateurs rejoignent le KSC.
Gloire à eux !
Il s'agissait d'une première pour la Dakitess Corporation : se rendre sur ce gros caillou qu'est Gilly. Naturellement, nous étions intéressés avant tout par sa très faible gravité, et avons choisi de voir cela de plus près. Une double sonde ionique s'est rendue sur place afin de procéder aux premiers relevés. Double car l'une des parties du corps s'est détachée, et mue par du monopropellant et un unique propulseur, elle est venue percuter le sol de plein fouet afin de dégager quelques particules. La seconde sonde à alors pu récolter le nécessaire, procéder à quelques analyses, renvoyer quelques résultats, avant de s'éteindre.
J'suis un peu deg', aucune image de cette première phase marrante (mais si mais si) car je les avais placé sur une clé que j'ai du formater par dysfonctionnement irrécupérable ;(
A la suite de cela, et selon les premières analyses, nous avons décidé de dépêcher un Kerbonaute sur place, pour le challenge avant tout, mais également pour mesurer les effets d'une quasi absence de gravité sur le corps. La mission prévoyait une isolation totale sur le sol de Gilly pendant 3 ans. La mission fut un succès sans accroche, une partie est restée en orbite, capable de rapatrier le vaillant kerbonaute jusqu'à Kerbin. La capsule au sol est parvenu en douceur à l'aide de propulseur RCS monodirectionnel.
Pourtant, plutôt que de finaliser cette mission comme prévu, la DC a estimé judicieux de travailler sur un Rover capable de se mouvoir sur le sol de Gilly. Dans cet objectif il a fallut songer à un moyen permettant de plaquer tant bien que mal le véhicule au sol pour palier à la gravité bien trop faible. 2 moteurs ioniques orientés vers le bas nous ont semblés adaptés, et feront leur preuve sur place.
Mais maintenant, un peu d'image pour les moins motivés par la Lecture


Nous commençons directement par cette phase 3 de la mission, qu'est l'envoi du Rover. La phase deux reprend les mêmes étapes en moins intéressant, avec l'acheminement d'une capsule habitée... Et y'aura bien assez d'image comme ça. Au sommet du lanceur, la charge utile, le rover. La mission est inhabitée, puisque à destination du kerbonaute déjà sur place.

Parvenu aux abords d'Eve, le module interplanétaire est composé de la charge utile, le Rover et son équipement, et son déplacement est garanti par une propulsion mononucléaire. Le carburant embarqué prévoit une compartimentation favorable à la mission, les deux réservoirs latéraux devant être largués pendant le rétrofreinage dans l'atmosphère d'Eve :

Ca chauffe dur !

Une fois en orbite stable autour de Gilly, à quelques 50 km au dessus de sa surface irrégulière, la charge utile est découplée. Au préalable, 95% du carburant du petit réservoir est transféré, Gilly ne nécessitant qu'une quantité ridicule de carburant et puissance, pour manœuvrer dans son voisinage.

La descente s'effectue bien lentement, surtout à cause du WARP inactif en deça des 8000m... Arf, on en vient même à accélérer vers la surface ^^ Le réservoir du dessous et son propulseur sont vite détachés, et ce sont deux propulseurs latéraux, oranges, qui prennent le relai, tirant leur carburant des minuscules réservoirs toroïdaux sur les côtés. A terme, ce sont mêmes les RCS qui s'avèrent de loin suffisant pour un atterrissage en douceur.

Sur ce gros rover à très large empâtement, nous retrouvons un pod habitable confortable et tout l'équipement nécessaire : alimentation radioisotopique, panneaux photovoltaïques, lumières, instruments scientifiques, pieds escamotable pour position fixe station... ET ! Les deux fameux propulseurs ioniques profitant chacun d'un réservoir au xénon, surpassant de très loin les besoins mais Eh ! La masse supplémentaire induite était pratiquement négligeable. Ces derniers sont directement alimentés par les deux vastes panneaux dépliants qui permet une fonctionnement pleine puissance en plein soleil, une fois ajouté la production des piles atomiques en présence. Et ça marche... Ca remplit tout à fait son office ! Faites bien attention à centrer la poussée avec la masse tout de même


Le rover parcourt en automatique les 9 kms qui le sépare de la capsule habitée dans laquelle sommeille paresseusement le Kerbonaute envoyé 3 ans plus tôt, sans compter son voyage. Le voyage s'effectue sans encombre, je suis étonné d'être parvenu à tenir une moyenne très très raisonnable de 12 m/s avec quelques pointes à 15 m/s. Inutile de mentir, le rover est autant dans les airs qu'au sol, mais avec l'ASAS et votre vigilance, il gardera toujours le cap sans jamais sourciller, malgré le dénivelé affreusement irrégulier et chaotique de Gilly ! Une vraie satisfaction. En outre, je parle des décollages, mais couper les propulseurs ioniques et vous verrez que les sauts de puces se transforment sans souci en désorbitation franche et nette :p

Le kerbonaute rejoint la nacelle habitable et part faire quelques tours pour finaliser les relevés. Heureusement qu'il avait son Kermis de Konduire le bougre ! La mission n'avait pas été planifiée ainsi...

Une fois son travail terminé, c'est avec fébrilité qu'il enclenche la procédure d'orbitation... La nacelle se sépare alors de son socle, et s'élève dans les airs par la force des propulseurs RCS ! Seul le strict nécessaire demeure, et cet allégement sans concession procure une efficacité fulgurante au module. Sur les 172 unités de monopropellant, seules 10 seront utiles à la circularisation et 4 pour la manœuvre d'approche et le docking... Décidemment, Gilly surprend et choque le sens commun en proposant des grandeurs jamais rencontrées auparavant !

Ces retrouvailles seront d'ailleurs un jeu d'enfant, emprunt de légèreté... Le module assemblé obtenu est bien plus léger qu'à l'aller et nos estimations devraient être largement correcte pour retourner vers Kerbin.

D'ailleurs la voila ! Un aérofreinage de rigueur, et nous nous retrouvons bien vite en trajectoire elliptique, capturée par la planète. Les réserves sont largement suffisantes à une circularisation propre, pour mener à bien dernier rendez-orbital... Car en effet, les parachutes de retour à Kerbin ont été honteusement oublier. La première idée fut d'acheminer une de nos navettes sans pilotes toujours en orbite à différentes altitudes. Mais une idée à germée dans la tête d'un de nos ingénieurs : pourquoi ne pas élaborer un module indépendant qui remplirait l'office de retourner une charge au sol de Kerbin ? L'équipe s'est alors chargée de réaliser un tout petit module disposant d'un dock moyen. Sur sa structure fiable, 4 parachutes latéraux et un bouclier thermique. L'objectif fut donc de docker le module habité à cette petite excroissance, ce qui fut fait sans grande difficulté. Au préalable, des tests ont été effectués avec la même charge et le même système, pour vérifier que la liaison dock ne s'arracherait pas à l'ouverture des parachutes. Un véritable succès !

Le nouvel ensemble est désorbité de manière peu conventionnelle : plutôt que d'opérer aux RCS qui auraient été suffisant, un pilote à terre à décider de manipuler le bloc propulseur final du module-parachute, et de l'accoler délicatement sous la nacelle. Ainsi, et même sans dock, il est parvenu à désorbiter le système en moins de 10 secondes. Cette opération lui aura valu un renvoi sans concession de nos bureaux, mais la prouesse à suffisamment fait parler de lui pour qu'il trouve du travail dans l'heure qui suivait...

Les différentes phases de l'ouverture, qui s'est déroulée sans le moindre souci. Au touchdown final, la couple du bouclier est détachée pour ne pas peser sur la structure, et s'affaisse d'un côté pour proposer une protection solaire au kerbonaute fatigué, le temps du rapatriement.

Notre équipe a jugé que cette opération était l'opération rêvée de lancer notre nouvel appareil ultra sécurisé de récupération au sol. D'une stabilité remarquable, ce modèle bi place à grande portance se verra attribuer une article en première page, très probablement. Toutefois, et malgré l'expérience de nos pilotes en matières de vol parabolique, l'autonomie de cet appareil s'avère insuffisante pour un retour. Il est décidé de parcourir la moitié du chemin et de se poser une lagune de sable, le temps d'acheminer un nouvel avion.

Le Bi-Kerbin Explorer remplira ce rôle à merveille. Issu du Kerbin Explorer dans sa version "Ascension", cet appareil prévoit deux places et un vol très fiable. Son autonomie lui permet de parcourir tout le globe et d'en revenir, avec une marge de sécurité. Lui aussi aura certainement droit à son billet dans les jours qui suivent.

Sur le tarmac, c'est dans une joie contenue par le protocole militaire que nos deux vaillants explorateurs rejoignent le KSC.
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Dernière modification par Dakitess le 27 juillet 2013, 23:09, modifié 6 fois.
- Platinium773
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Croiseur - Huge Carrier + M
Et bien tu vois en tu en parlais sur un autre topic de ta gravitée artificielle et au fur et a mesure que je lisais, je ne sait pas pourquoi mais je le voyais venir ce ionique x) Et je m'imaginais un Overcraft à la con compensé par cette technique mais c'est idiot x) Bref GG pour l'idée et bravo pour la mission.
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Re: Daki Corporation [Last MaJ : Mission : Rover Gilly]
Merci Plati ! Ca m'avait manqué de poster, j'ai encore un tas de chose : j'ai pas réussi à me sevrer du tout X) Je vais faire le tri...
J'ai édité avec la fin de la mission histoire de présenter quelque chose de complet. J'ai perdu la rédaction à mi chemin malgré mes validations intermédiaires, j'ai cru que j'allai abandonner !
M'enfin c'est consigné, je me suis bien éclaté à faire cette mission, et j'espère que ça plaira à quelques-uns. Je renverra rapidement le même Rover pour m'amuser un peu, il est overstable ! P'tet sur Minmus pour voir ce que ça donne, terrain de jeu déjà moins éloigné xD
J'ai édité avec la fin de la mission histoire de présenter quelque chose de complet. J'ai perdu la rédaction à mi chemin malgré mes validations intermédiaires, j'ai cru que j'allai abandonner !
M'enfin c'est consigné, je me suis bien éclaté à faire cette mission, et j'espère que ça plaira à quelques-uns. Je renverra rapidement le même Rover pour m'amuser un peu, il est overstable ! P'tet sur Minmus pour voir ce que ça donne, terrain de jeu déjà moins éloigné xD
Re: Daki Corporation [Last MaJ : Mission : Rover Gilly]
Chouette le Rover !
Tu peu rouler longtemps avec l'Ionique enclenché ?
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