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par Sadgeras » 27 août 2013, 15:13
Ce que tu dis au niveau de l'énergie liée à la masse est en partie vraie. Elle se vérifie au niveau subatomique, où une particule de masse m peut être convertie en énergie E et inversement, une énergie E peut être convertie en particule de masse m. Par contre dans ton exemple de balle et d'obus, cela n'est pas pertinent.
Pour donner un exemple congret, on s'est aperçu d'une anomalie sur la sonde Voyager 2. On a remarqué qu'elle prennait de la vitesse, même si cela est infime, elle en gagne. Or, même en faisant la somme des assistances gravitationnelle et de l'inertie, elle ne devrait pas augmenter sa vitesse. On a d'abord pensé au "marée gravitationnelle" issue du soleil et des géantes gazeuse, malheureusement on y regardant cela devrait la faire ralentir et non l'accélérée.
On a cherché pendant un moment jusqu'à ce qu'on s'aperçoive d'une augmentation de température légère, supérieure à celle du milieu et du fonctionnement de la sonde. La réponse nous a sciée, la lumière du soleil, plus précisèment les photons. Ils excercent une pression sur la coque de la sonde lui permettant de gagner en vitesse. Cette pression se traduit par une légère augmentation de la température global de la sonde. Même si ce gain est minime, il est là.
Dans le cas du PFF, la production de nucléides est phénoménale. Le piège magnétique et la tuyère d'éjection magnétique permettent d'expulser environ 46% de ces nucléides. Aujourd'hui on travaille sur le moyen de capturer plus de nucléides afin de les expulsés. L'amélioration du PFF, actuellement passe par la création d'un nuage de particules sous forme de plasma de particules pour être précis, mis en sustentation au milieu de la chambre, puis à l'aide de la technique des champs magnétique (un peu comme des mirroirs) on accèlere ses particules pour les expulsées.
