Ca fait plus d'un mois que je bricoles des hydroptères, bien que les résultats s'améliorent, je vois toujours pas comment ils calculent le niveau de flottaison ; est-ce basé sur la masse, le volume, le volume total ou immergé, est-ce que la portance compte, etc ?
A chaque fois que j'ai cru comprendre, un événement est venu me contre-dire, d'où le fait que j'ai pas trop parlé de ce domaine pour pas risquer de dire une connerie.
Un exemple avec un Koeland qui a des ailes à la verticale utilisées comme "poutre" pour placer des foils sous l'eau (
cf photo), j'ai observé un phénomène étrange le jour où j'ai merdé une mise à l'eau et qu'il a explosé. Les 2 aile-poutres à l'avant se sont détachées (et ont perdus leurs foils), puis elles ont continuées à naviguer à une vitesse de 50 m/s sur plus de 5km (j'ai arrété le jeu) en conservant cette position à la verticale.
Mais, il y avait une grosse différence entre les aile-poutres gauche et droite, l'une flottait à mi-hauteur, et l'autre flottait avec 1/5 de son extrémité sous l'eau. Et le plus incroyable, c'était l'aile-poutre qui avait des échelons et une échelle qui flottait le plus haut !
La seule chose concrète que j'en ai déduis, c'est de systématiquement mettre des échelons et échelles des deux cotés pour ne plus avoir de problème d'instabilité en roulis et lacet ; maintenant, mes hydroptères gardent parfaitement le cap que je leur donne.
Autre exemple, pas moyen d'immobiliser en mer mes hydroptères, si je les fais reculer avec du RCS, ils finissent par repartir de l'avant à 0,2 m/s. Ce qui rend les quicksave, ou même la récupération d'un nageur très difficile. Je croyais que c'était la portance des foils qui poussaient, mais même
mes bouées-balises ont une infime vitesse résiduelle (environ 0,05 m/s).
Nb: je publierais le plan du Koeland demain, j'ai un nouveau modèle avec une autonomie de 1000km qui tente en ce moment d'atteindre la Korée du sud, voir même de traverser l'Atlantik...