Thierry Kerman regardait le Kerbal Space Center depuis le haut du VAB, plein d’espoir. Après une longue période d’incertitude, Thierry Aerospace allait enfin pouvoir commencer…
Bienvenue sur les chroniques de Thierry Aerospace, ma nouvelle partie carrière moddée. Et c’est un gros modpack, plus de 2 Go de mods, et voici la liste complète :
Système solaire :
Rescale *2.5
Outer Planets Mod
Gameplay :
Probes Before Crew
Kerbal Construction Time
TAC Life Support
Oh Scrap !
Remote Tech
Parts :
Near Future Technologies
Mark IV Spaceplane Systems
Kerbal Planetary Base Systems
Stockalike Station Parts Redux
SCANSat
Packs de contrats :
Career Evolution Contract Pack
Tourism Plus
Giving Aircraft a Purpose
Les mods utilitaires classiques
Année 1, jour 1 - Là où tout commence
Les ingénieurs se mirent immédiatement au travail sur leur première fusée-sonde, le Puceron 1. Un design basique, simplement constitué d'un module d'avionique, d'un petit propulseur, d'une antenne à courte portée et d'un thermomètre (la seule expérience transmissible à ce stade de développement).
Année 1, jour 98 - Premier lancement
Après plus de 3 mois de construction, le premier exemplaire du Puceron 1 est prêt au lancement.
3, 2, 1... Et le propulseur ne s'allume pas. Le lancement est reporté, et Saut de Puce 1 est ramené au VAB pour des réparations. Pendant ce temps là, les équipes lancent la construction d'un deuxième lanceur pour un futur vol.
Année 1, jour 117 - Premier lancement, le retour
Après avoir été ramené au VAB pour vérification, une nouvelle tentative de lancement de Saut de Puce 1 est effectuée. Et après une longue anxiété, cette fois le booster s'allume, et c'est un décollage réussi pour Saut de Puce 1 !
Et le propulseur s'éteint nominalement après 49 secondes de vol, à une altitude de 13,5 km, pour atteindre une altitude maximale de 20,5 km
La fusée-sonde finit par s'écraser juste à l'ouest du KSC, 3 min 30 s après le lancement.
Chroniques de Thierry Aerospace
Re: Chroniques de Thierry Aerospace
Année 1, jour 163 - Préparatifs de Saut de Puce 2
Les préparatifs vont de bon train pour le deuxième vol de Thierry Aerospace : une nouvelle fusée a été conçue, le Puceron 2, une fusée multi-étages avec l'espoir d'atteindre l'espace. Les deux étages sont construits, et il est l'heure d'effectuer le test statique du 2ème étage, partie la plus critique de la mission.
Il ne reste plus qu'à assembler le vaisseau
Les préparatifs vont de bon train pour le deuxième vol de Thierry Aerospace : une nouvelle fusée a été conçue, le Puceron 2, une fusée multi-étages avec l'espoir d'atteindre l'espace. Les deux étages sont construits, et il est l'heure d'effectuer le test statique du 2ème étage, partie la plus critique de la mission.
Il ne reste plus qu'à assembler le vaisseau
Re: Chroniques de Thierry Aerospace
Année 1, jour 219 - Plus vite, plus haut (ou pas)
Saut de Puce 2 est sur le pas de tir, prêt à décoller.
Décollage !
Malheureusement, la fusée se mit à partir sur le côté quelques secondes après le lancement, qui fut donc un échec. La fusée finit par s'écraser à quelques kilomètres à l'ouest du pas de tir, avec une altitude maximale de seulement 4,5 km.
Le design du Puceron 2, trop instable, fut abandonné au profit du Puceron 3, un nouveau modèle à carburant liquide tirant profit du cardan du moteur afin d'assurer la stabilité de la fusée.
Année 1, jour 338 - Première fusée liquide
Saut de Puce 3 était posée sur le pas de tir, les ingénieurs anxieux. Ce moment était pour beaucoup la partie la plus critique du programme : rien n'avait été testé au préalable, et n'importe quoi pouvait foirer n'importe comment.
Et après un long compte à rebours, le moment de vérité arrivait enfin, tandis que la fusée s'élevait lentement dans le ciel...
Tous les paramètres propulsifs sont normaux, la trajectoire est normale !
La fusée se retrouva sur une trajectoire suborbitale avec une apogée de 860 km, bien au dessus de toutes les espérances !
Elle finit par s'écraser 23 minutes après le lancement, à 300 km du KSC. Un nouveau lanceur Puceron 3 fut commandé après le tir, cette fois dans l'objectif de récupérer la charge utile.
Saut de Puce 2 est sur le pas de tir, prêt à décoller.
Décollage !
Malheureusement, la fusée se mit à partir sur le côté quelques secondes après le lancement, qui fut donc un échec. La fusée finit par s'écraser à quelques kilomètres à l'ouest du pas de tir, avec une altitude maximale de seulement 4,5 km.
Le design du Puceron 2, trop instable, fut abandonné au profit du Puceron 3, un nouveau modèle à carburant liquide tirant profit du cardan du moteur afin d'assurer la stabilité de la fusée.
Année 1, jour 338 - Première fusée liquide
Saut de Puce 3 était posée sur le pas de tir, les ingénieurs anxieux. Ce moment était pour beaucoup la partie la plus critique du programme : rien n'avait été testé au préalable, et n'importe quoi pouvait foirer n'importe comment.
Et après un long compte à rebours, le moment de vérité arrivait enfin, tandis que la fusée s'élevait lentement dans le ciel...
Tous les paramètres propulsifs sont normaux, la trajectoire est normale !
La fusée se retrouva sur une trajectoire suborbitale avec une apogée de 860 km, bien au dessus de toutes les espérances !
Elle finit par s'écraser 23 minutes après le lancement, à 300 km du KSC. Un nouveau lanceur Puceron 3 fut commandé après le tir, cette fois dans l'objectif de récupérer la charge utile.
Re: Chroniques de Thierry Aerospace
Année 1, jour 422 - Encore un test statique
Une deuxième fusée Puceron 3 a été construite, et emmenée sur le pas de tir pour un test de mise à feu statique, avec un tout nouveau pas de tir.
Année 1, jour 433 - Une nouvelle charge utile
Il était temps d'amener les choses au niveau supérieur, et d'envisager cette fois un vol suborbital avec récupération de la charge utile. C'est ainsi que fut conçue pour le vol du Saut de Puce 4 une nouvelle charge utile, plus avancée que la précédente sur absolument tous les points : une unité d'avionique plus performante et dotée de roues de réactions afin de contrôler la charge utile pendant la réentrée, un nouvel instrument scientifique conçu pour être récupéré, et bien entendu un bouclier thermique et un parachute. La masse de la charge utile passait ainsi de 75 à 350 kg.
Année 1, jour 519 - Aller dans l'espace... et tenter d'en revenir
Et c'est au Saut de Puce 4 de monter sur le pas de tir, prêt à décoller au lever du soleil.
Et décollage !
Tous les paramètres propulsifs sont normaux, la trajectoire est normale !
Le premier étage est largué à 95 km d'altitude, et la charge utile continue son vol pour atteindre une apogée de 336 km. La charge utile a subi durant l’ascension un court-circuit entrainant la perte d'une de ses batteries, incident heureusement sans gravité.
Et c'est lors de la réentrée que la mission se transforma en échec. Les ingénieurs se rendirent compte après coup que le bouclier était largement sous-dimensionné, et que l'atmosphère de Kerbin n'était pas à prendre à la légère lorsque l'on arrivait à plus de 3 km/s. La sonde cessa de transmettre à une vingtaine de kilomètres de hauteur après 17 minutes de vol.
Une deuxième fusée Puceron 3 a été construite, et emmenée sur le pas de tir pour un test de mise à feu statique, avec un tout nouveau pas de tir.
Année 1, jour 433 - Une nouvelle charge utile
Il était temps d'amener les choses au niveau supérieur, et d'envisager cette fois un vol suborbital avec récupération de la charge utile. C'est ainsi que fut conçue pour le vol du Saut de Puce 4 une nouvelle charge utile, plus avancée que la précédente sur absolument tous les points : une unité d'avionique plus performante et dotée de roues de réactions afin de contrôler la charge utile pendant la réentrée, un nouvel instrument scientifique conçu pour être récupéré, et bien entendu un bouclier thermique et un parachute. La masse de la charge utile passait ainsi de 75 à 350 kg.
Année 1, jour 519 - Aller dans l'espace... et tenter d'en revenir
Et c'est au Saut de Puce 4 de monter sur le pas de tir, prêt à décoller au lever du soleil.
Et décollage !
Tous les paramètres propulsifs sont normaux, la trajectoire est normale !
Le premier étage est largué à 95 km d'altitude, et la charge utile continue son vol pour atteindre une apogée de 336 km. La charge utile a subi durant l’ascension un court-circuit entrainant la perte d'une de ses batteries, incident heureusement sans gravité.
Et c'est lors de la réentrée que la mission se transforma en échec. Les ingénieurs se rendirent compte après coup que le bouclier était largement sous-dimensionné, et que l'atmosphère de Kerbin n'était pas à prendre à la légère lorsque l'on arrivait à plus de 3 km/s. La sonde cessa de transmettre à une vingtaine de kilomètres de hauteur après 17 minutes de vol.
Re: Chroniques de Thierry Aerospace
Saut de Puce 5 : Le retour depuis l'espace, deuxième tentative
Les ingénieurs, s'étant rendu compte de leur erreur, se remirent au travail sur le Saut de Puce 5. La charge utile était similaire à la précédente, les principaux changements étant un bouclier thermique agrandi à 90 cm, et un nouvel instrument scientifique, portant la masse de la charge utile à 430 kg. Le lanceur serait comme pour les deux fois précédentes un Puceron 3.
Année 2, jour 1 - Bilan de la première année
Un bon départ pour Thierry Aerospace, malgré plusieurs échecs. Le bilan de l'année s'élevait à 4 lancements, dont deux échecs, et plusieurs premières fois : premier lancement, et premier vol suborbital. Et les plans pour l'année prochaine étaient tout aussi ambitieux : premier vol suborbital avec récupération, premier vol habité en avion, et si tout se passait bien un premier satellite.
Les ingénieurs, s'étant rendu compte de leur erreur, se remirent au travail sur le Saut de Puce 5. La charge utile était similaire à la précédente, les principaux changements étant un bouclier thermique agrandi à 90 cm, et un nouvel instrument scientifique, portant la masse de la charge utile à 430 kg. Le lanceur serait comme pour les deux fois précédentes un Puceron 3.
Année 2, jour 1 - Bilan de la première année
Un bon départ pour Thierry Aerospace, malgré plusieurs échecs. Le bilan de l'année s'élevait à 4 lancements, dont deux échecs, et plusieurs premières fois : premier lancement, et premier vol suborbital. Et les plans pour l'année prochaine étaient tout aussi ambitieux : premier vol suborbital avec récupération, premier vol habité en avion, et si tout se passait bien un premier satellite.
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