
L’arrivée tant rêvée de Spartacus a bien eu lieu, les 5 ou 6 Burn ont tous été parfaitement exécutés grâce aux nombreux assistants Internationaux mandatés, et ont encouragés les voyageurs à utiliser une technique suplémentaire en tendant aux plus courts les trajectoires tirées aux nœuds de manœuvre.
En effet, lors de chaques manipulations, la trajectoire a toujours été tirée en tenant compte uniquement des 2 flèches blanches qui apparaissent lorsque la trajectoire de Spartacus croise celle de Minmus, normalement lorsque ces flèches apparaissent, il faut encore affiner pour voir apparaitre le Periapsis et l’apoapsis, ce paris a été fait en tenant compte de la lenteur des Burn et d’essayer d’arriver devant Minmus,
A proximité de Minmus, quelle ne fut pas ma surprise lorsque Spartacus c’est fait attirer par la gravité, de voir une vitesse de 36 M.S par rapport à Minmus, cela a fait faire une sorte de marche arrière à Spartacus, il ne restait dés lors plus qu’a circulariser avec un Burn de 2 ou 3 mn J’ai trouvé ça très classe.
Les premiers crew report et autres EVA ont révélé une autre surprise, Spartacus n’a pas été conçu pour la science et ne contient aucun moyen de transmission.
En revanche étant un véhicule utilitaire, sa conception a pris en compte de le munir de plusieurs ports de docks, du plus petits au plus gros.

Cela a permis de faire une mission particulière, récupérer le tout premier satellite à s’être aventurer au-delà des frontière de Mun.
Ce satellite a 16 années de vie et est le tout premier à avoir quitté Kerbin à l’ouverture du Centre Spatial pour rejoindre une orbite polaire qui lui a permis de récolter de nombreux points sciences en parcourant les nombreux Biomes de Minmus.
Ce dernier lui restant le stricte minimum de monopropellant pour quitter son orbite a rejoins Spartacus, il s’est parfaitement amarré et son antenne lui permettra de transmettre les précieuses données sciences pour Spartacus.

Une petite EVA pour l’équipage est obligatoire, et leurs permets de contempler le vaste univers qui les entourent.



Retour à bord pour laisser la place aux suivants.

Spartacus doit maintenant reprendre ses activités et on s’active pour préparer les modules qui vont descendre.

Une dernière surprise nous attendaient sur place, la perte de quasiment tous les liquides dans les modules.
Le Commandant de vol (moi ) n’avait pas verrouillé les réservoirs des modules et lors du voyage, Spartacus c’est servis également des liquides contenus hors de ses réservoirs principaux.
Bon tant pis….. il en reste en suffisance !!
Le module de descente une fois complété est nettement moins agile que lors de son transfert Kerbin Spartacus, mais reste très agréable à diriger.

S’en suis la sortie de la foreuse, qui est assez bien équilibrée en manœuvre, le briquet qui lui sert de propulseur de descente me fait déjà transpirer rien qu’en le regardant.

Elle va aller rejoindre le réservoir qui fera les allers et retours Minmus Spartacus.

On franchit les derniers obstacles avec une précision chirurgicale.

Et viens se placer immobile pour la phase suivante….

Le basculement pour laisser l’aimant terminer le travail.

Et CLING !!...

La dernière nuit avant le début de grosses journées de travail, voilà on ferme !!


Pour la suite, la foreuse une fois au sol, son travail commencera, le réservoir entamera également sa première descente et devra rejoindre la foreuse, et se poser dessus, à l’image de la position d’attente actuelle sur Spartacus ( visible plus haut ). Mes meilleurs et seules approches entre ciel et sol entre 2 modules ont été de env. 1,5 km, réalisées dans la mission Mun, il y aura beaucoup de F5 je pense ….
Si tout se passe bien et que la foreuse reste debout…. Le plein sera fait et le réservoir fera son premier voyage pour revenir vers Spartacus.
Mais la on en est encore loin…..