Communiqué de presse de la part de l’administration spatial kerbalienne
Reprise de l’Administration Spatial de Kerbin
Après un déménagement long, laborieux et en l’absence de logements définitifs, nos ingénieurs ont accepté de travailler chez leurs familles depuis de vieux PC portables datant de l’avant avant dernière génération ! (Sans oublier qu'ils seront payés au lance-pierre, mais en tant que fonctionnaires, ils ont un emplois a vie

)
Par conséquent, les cahiers des charges des vaisseaux ainsi que les modules complémentaires nécessaires à la navigation spatiale sont extrêmement restreint et contraignant !
Les modules complémentaires sont :
-Mechjeb
-Precise node
-Trajectories
-Transfer windows planner
-Chatterer
-Docking port alignemnt indicator
-Kerbal alarm clock
-Better burn time
Néanmoins nous avons tout de même conservé notre contrat avec notre fournisseur de pièce depuis toujours : KSP Interstellar !
Attention phrase suivant sponsorisé :
Avec KIS et KAS, fini les pièces oubliés dans l’espace ! Kis et Kas fournisseur officiel de l’ASK en outils et pièces de rechange.
Une fois n’est pas coutume, après plusieurs petites balades sur Mun et Minmus, nous voyageons vers Duna. Il est vrai que l’ASK entretient une relation spéciale avec Duna, car après chaque voyage un événement quelconque nous oblige de tout recommencer

! (Mises à jour des programmes, des systèmes informatiques, déménagements, etc)
Donc aujourd’hui, nous vous présentons le retour victorieux de nos valeureux kerbonautes. Avant d’aller plus loin, rappelons les objectifs de la mission :
-Un Contrat nous demande de réaliser un fly-by de Duna !
Pour le même prix, nous proposons une mise en orbite et un atterrissage sur Duna, grâce aux dernières avancées technologiques !
Contrairement aux missions précédentes, qui avait vu 2 lancements et un assemblage en orbite, cette mission vise 1 seul lancement ! Pour envoyer un lander et un vaisseau de transfert, nos ingénieurs ont tiré parti d’une invention toute récente, la coiffe à plusieurs étages !
De plus au lieu d’effectuer le lancement des semaines voir des mois en avance (pour ne pas parler du cas de Valentina Kerman qui avait raté la fenêtre de quelques années !), le lancement a eu lieu 4 jours avant. Pourquoi 4 jours avant ? Car autre nouveauté, nos trajectologues

ont découpé la longue phase de poussée en plusieurs petites !
Nous vous présentons donc Duna Trasnfert (et oui, le stagiaire a fait une faute de frappe à l’enregistrement du vaisseau auprès de l’Administration des Véhicules de Kerbin) :
Le 1er étage a volontairement été surdimensionné dans le but de donner une forte impulsion à l’ensemble module transfert et au lander. Ce premier étage a donc porté l’apogée à près de 500 km d’altitude. A la fin de cette phase de poussée, le module de transfert se retourne pour amarrer la lander avant de finaliser la mise en orbite en poussant le périgée à 75 km. Nos trajectologues espéraient bénéficier d’un hypothétique effet de fronde et le cas échéant en mesurer l’efficacité et la puissance.
Après 2 poussée de 250 m/s, nos « brillants » trajectologues (on ne sait pas encore s’ils sont réellement brillants ou s’ils ont eu de la chance

) nous confirment que la dernière poussée sera de 294 m/s et coïncidera parfaitement avec la fenêtre de départ pour Duna !
La conception originale de ce lander repose sur un command pod en parti supérieur avec les blocs moteurs au monopropellant. Les réservoirs ainsi que les instruments et le module de service sont en parti inférieur pour être larguer au fur et à mesure.
Le retour fut quant à lui particulièrement laborieux en termes de date de départ et de trajectoire. On nous a signalé qu’à ce moment-là plusieurs trajectologues sont subitement devenus chauves.
Pour la rentrée sur kerbin, 2 hypothèses se sont tenus côte à côte jusqu’à la fin. Certains ingénieurs étaient partisans de conserver le module de transfert en orbite et ainsi le conserver pour d’autres missions (économies en vues)

. D’autres préféraient faire revenir l’ensemble sur Kerbin sous prétexte que l’on avait oublié le bouclier thermique sur le lander

! Dans les 2 cas, nos trajectologues ont proposé pour le retour un aérobraking en orbite inverse

! Malheureusement le 1er aérobraking fut bien trop brutal, le module de transfert n’a pas résisté et nos kerbonaute ont dû le larguer plus tôt. Mais cela ne fut pas très grave car à l’aérobraking suivant fut suffisant pour que le module de vie touche l’eau !
Et maintenant voici quelque photos souvenirs de cette escapade !