Bienvenue à tous à l’A.A.S.K. – l’Agence AéroSpatiale de Kerbin !
Rapide historique avant de passer au vif du sujet : l’agence est le fruit d’un accord entre tous les États de la planète pour mettre en commun ressources et financements dans le but de conquérir le système solaire entier. Le budget de l’agence est donc virtuellement infini, il fallait au moins ça pour explorer l’infinité de l’espace !
De nombreuses recherches ont été menées pour faire avancer la science et développer de nouvelles techniques, dans le but final de créer de véritables villes en orbite et à la surface des autres astres du système.
Le maître mot des futures constructions de l’A.A.S.K. est : modularité. Toutes nos stations se doivent d’être modelées selon les envies et les besoins, constituées de parties standards envoyées morceaux par morceaux s’assembler. Autre chose : l’assemblage doit être automatisé ; les kerbaunautes ne sont envoyés à la station qu’une fois que celle-ci est opérationnelle.
Ayant récemment développé un nouveau genre de module de commande, plus spacieux, à partir de trouvailles retransmises par une sonde en orbite autour de Duna (hé oui, c’est comme ça que ça marche chez nous : en observant de la gelée et d’autres objets en apesanteur autour d’une autre planète, on en déduit comment agrandir notre poste de commande ; n’est-ce pas merveilleux ?), l’agence pu se lancer dans les prémices de la construction d’une base orbitale autour de Kerbin.
La première pierre de l’édifice fut conçue dans le détail. Il allait s’agir du centre de commande principal de la station orbitale, le Noyau central, dont vous pouvez admirer les plans ici :
Vue de dessus : (Oui, l’agence n’hésite pas à partager ses plans ; de toute façon, elle n’a pas de concurrents, puisque la totalité des pays de la planète la soutient.)
A part ça, le Noyau a tout l’espace nécessaire à la survie d’une poignée de kerbonautes, ainsi que le SAS le plus performant existant, et deux sections de propulsion RCS pour manier tout cela.
Les bras de prolongement sont en fait des fuselages d’avion réadaptés pour servir de tunnels dans toute la station. Plus tard, d’autres parties viendront s’y greffer, mais on n’en est pas encore là.
Voilà pour la théorie. Les réserves ont été pré-calculées pour mettre tout cela en orbite, et c’est donc avec un lanceur constitué de 8 propulseurs et de 24 réservoirs de type FL-T800 que le Noyau est envoyé.
Qu’à cela ne tienne, le propulseur vide de la station est alors détaché, et un autre tout neuf est envoyé pour le remplacer. Après un docking légèrement laborieux, nos ingénieurs manquant encore d’expérience, la station est enfin amenée à l’orbite prévue.
Ce qui est intéressant, c’est que la station est presque au-dessus du KSC, légèrement en retard. La communication est donc établie en permanence avec la station depuis le sol.
Et voilà le Noyau Central dans toute sa modeste splendeur :