Re: Chroniques de la Vertikal Explo Corp
Publié : 03 avril 2018, 19:11
En envoyant la station sur Mars, je n'avais pas du tout imaginé faire cette transformation.
J'avais laissé quelques modules de propulsion ayant servi à l'assemblage au bout de branches de la station en me disant que je prendrai le module habité (cercle bleu ci dessous) et que j'y empilerai les 3 petits modules d'origine ayant un sas d'arrimage fonctionnel (cercles verts ci dessous). Un seul module (cercle rouge) restant sur la station, et le module de propulsion atomique quasi à sec restant sur place ou étant largué dans l'espace.
Normalement, vu le poids et avec ces modules et en utilisant les propulseurs étage par étage, j'avais assez de Delta-V pour le retour.
Mais sans le laboratoire, ce qui imposait de repartir après que toute la science aurait été générée.
En prévision du retour, j'avais refait le plein en orbite terrestre en emplissant les modules propulseurs à l'aide du rab dans les réservoirs des modules de transports qui ont fait plusieurs passage dans la station lors de son assemblage.
Vu que tous les modules de propulsion sont équipés de 4 moteurs 24-77 "Twitch" placés à l'extérieur des réservoirs, on peut empiler les modules sous forme d'étages virtuels par leurs sas (pas de découpleurs) et les larguer manuellement quand un réservoir est vide pour passer sur le réservoir suivant et les 4 moteurs suivants. Les manœuvres sont lentes mais on a une bonne capacité de propulsion avec la masse de 0.09 t par moteur pour une poussé de 16 kN.
C'est le moteur que j'utilise le plus pour les arrimages en orbite terrestre, les alunissages (Lune, Mun, Minmus).
Une fois en orbite autour de Mars, je me suis aperçu que le module de propulsion avec les moteurs atomiques avait encore une bonne marge de carburant, certes insuffisante pour faire revenir tout l'ensemble, mais suffisante pour le module habité, le labo et une des deux branches avec les panneaux solaires.
Accessoirement, le vaisseau de retour finalisé est plus joli que l'empilement de réservoirs et petits moteurs initialement prévu.
Comme ça m'arrive quasiment à chaque fois, le résultat final et les choix à faire sont différents de ce que j'avais prévu à l'origine. Quelque part, j'aime bien cette sensation d'imprévu et d'improvisation.
Cette fois, le final est mieux que le planifié.
C'est bien sur la faute des services techniques de mon centre spatial qui montrent leur incompétence, mission après mission.
J'avais laissé quelques modules de propulsion ayant servi à l'assemblage au bout de branches de la station en me disant que je prendrai le module habité (cercle bleu ci dessous) et que j'y empilerai les 3 petits modules d'origine ayant un sas d'arrimage fonctionnel (cercles verts ci dessous). Un seul module (cercle rouge) restant sur la station, et le module de propulsion atomique quasi à sec restant sur place ou étant largué dans l'espace.
Normalement, vu le poids et avec ces modules et en utilisant les propulseurs étage par étage, j'avais assez de Delta-V pour le retour.
Mais sans le laboratoire, ce qui imposait de repartir après que toute la science aurait été générée.
En prévision du retour, j'avais refait le plein en orbite terrestre en emplissant les modules propulseurs à l'aide du rab dans les réservoirs des modules de transports qui ont fait plusieurs passage dans la station lors de son assemblage.
Vu que tous les modules de propulsion sont équipés de 4 moteurs 24-77 "Twitch" placés à l'extérieur des réservoirs, on peut empiler les modules sous forme d'étages virtuels par leurs sas (pas de découpleurs) et les larguer manuellement quand un réservoir est vide pour passer sur le réservoir suivant et les 4 moteurs suivants. Les manœuvres sont lentes mais on a une bonne capacité de propulsion avec la masse de 0.09 t par moteur pour une poussé de 16 kN.
C'est le moteur que j'utilise le plus pour les arrimages en orbite terrestre, les alunissages (Lune, Mun, Minmus).
Une fois en orbite autour de Mars, je me suis aperçu que le module de propulsion avec les moteurs atomiques avait encore une bonne marge de carburant, certes insuffisante pour faire revenir tout l'ensemble, mais suffisante pour le module habité, le labo et une des deux branches avec les panneaux solaires.
Accessoirement, le vaisseau de retour finalisé est plus joli que l'empilement de réservoirs et petits moteurs initialement prévu.
Comme ça m'arrive quasiment à chaque fois, le résultat final et les choix à faire sont différents de ce que j'avais prévu à l'origine. Quelque part, j'aime bien cette sensation d'imprévu et d'improvisation.
Cette fois, le final est mieux que le planifié.
C'est bien sur la faute des services techniques de mon centre spatial qui montrent leur incompétence, mission après mission.