Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

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Fredator
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Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 12 mars 2015, 15:41

NdF :

Bonjour tout le monde, cela fait un moment que je n'ai plus posté "d'épopée" (j'ai eu un temps de jeu ultra réduit les derniers temps).
Je ne vous avais pas oublié, ni arrêté de jouer (ni perdu de vue le forum) mais je n'avais pas grand chose à vous mettre sous la dent.

La 0.9 m'a motivé à rejouer et j'ai donc relancer un énième carrière dont je vais vous faire partager quelques extraits.
Je vous préviens que ça risque de vous paraitre un peu décousu mais c'est parce que je ne vais pas vous mettre l'intégralité des vols.
(déjà qu'il n'y a rien de révolutionnaire, je vais éviter de surcharger ^^).

C'est parti !


Après les (semi)échecs des missions Nemroïd 1 et Nemroïd 2, l'équipe d'ingénieurs des Space Sapins a planché plus sérieusement sur le projet Nemrod.

Le Nemroïd 3 est donc né. C'est un vaisseau récupérable dont je détaillerai les caractéristiques techniques plus tard.
Pourquoi récupérable ? Tout simplement pour commencer à engranger de l'argent au cas ou je n'arriverai pas à accomplir à bien le contrat de désorbitation d'un class D (2 millions de pénalités !)
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Le voici sur le pas de tir pour un vol d'essai :
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La phase de mise en orbite s'est déroulée comme prévu.
Voici donc le Nemroïd 3 :
On est revenu à un seul grappin, ce qui est plus simple pour viser un centre de masse. L'engin est propulsé par 2 nukes (sur la capture, il dispose encore de son second étage d'injection).
Des grands panneaux solaires sont prévus pour les longues missions (il manque un générateur mais le modèle 4 y remédiera).
Un grand dock est installé à l'arrière pour pouvoir arrimer toutes sortes d'équipements ou encore se faire ravitailler en cas de panne sèche.
La nouveauté vient de la présence de parachutes et de pieds pour un retour sur Kerbin, retour que l'on va tester maintenant.

Allez, on choisi une petite aurore boréale pour nous porter chance pour démarrer la désorbitation
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Et c'est parti !
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Un freinage pour ajuster la trajectoire et éviter de tomber à la mer.
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Déclenchements des parachutes...
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... et déploiement réussi !
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Jebediah est fier de lui !
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Et maintenant le test grandeur réel.
La station de détection nous signale un astéroïde de class B qui correspond à un de nos contrats en cours : il faut le ramener en orbite munaire.
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On réarme le Nemroïd 3 et il repart pour accomplir sa première mission.
(je passe la phase d'approche)

Et zou, capturé.
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Après plusieurs manœuvres, dernier freinage pour circulariser une orbite autour de la Mun
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Largage du bébé, en attente de futures missions
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Retour en orbite Kerbinienne et amorçage de la descente
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Ajustage millimétré de la zone d'atterrissage
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Le KSC en vue ! (VRAIMENT millimétré)
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C'est trop beau ! :(
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Mission accomplie !
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A suivre

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Message par Dakitess » 12 mars 2015, 15:50

Oooh très multifonction cet appareil, je l'aime bien ! Et esthétiquement réussi et original !
https://t.me/pump_upp

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Message par DrDam » 12 mars 2015, 15:51

J'adore le vaisseau !
Tout ce qui a été crée par l'Homme devrait être patrimoine de l'humanité. Vous êtes perdu ?, là ce sera trop loin. Suivez moi : @DrDam8584

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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 12 mars 2015, 16:00

Merci !

Effectivement la classe Nemrod est assez polyvalente et d'ailleurs vous le verrez dans pas longtemps via d'autres missions.
J'aime bien les vaisseaux "pratiques" même si ils ne sont pas optimisés au poil (je suis conscient que mes modèles comportent pas mal de petites erreurs).

Sinon, mes vaisseaux se classent actuellement en plusieurs catégories : Nemrod et se déclinaison légère Nimrod, Philippidès (abandonné maintenant) et Herakles. Vous découvrirez leurs aventures incessamment sous peu.

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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 12 mars 2015, 16:54

Pas version une épopée mais plutôt une pub :

Il existe une version monoplace, plus légère et moins onéreuse, spécialisée dans les classes A (voir B) : le Nimrod.

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Il est aussi équipé de parachutes...
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et peut être récupéré...
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il faut atterrir sur terrain plat pour éviter tous déboires ^^'
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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 12 mars 2015, 16:57

En attendant le retour d'un astéroïde classe D dans le système, le programme SP² a décidé de varier un peu son quotidien (un asté ça va, 3 bonjour les dégats !)
On a donc accepter deux nouveaux contrats providentiels qui vont nous amener dans un secteur non encore exploré : EVE !

La fenêtre de tir étant courte, un Nemrod 3 reclassé (maintenant numéroté 4) a été modifié rapidement pour répondre au cahier des charges : ajout d'une soute, de réservoirs supplémentaires et quelques autres changements.
Après réflexion, ce vaisseau est largement optimisable mais ce sera pour une autre mission.

Sur le pas de tir :
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La mise en orbite se passe comme prévue :
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Il s'agit maintenant d'attraper Eve : après être sorti de la LKO un petit transfert de Hoffman suffit (bonne configuration astral !)
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Le vaisseau pendant l'injection :
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Le pilote va profiter de l'atmosphère dense de Eve pour économiser du carburant et effectué un freinage atmosphérique.
Pour cette première fois, la périgée est calée à 60 km
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Ça chauffe un peu
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Manœuvre réussie !
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Une fois en orbite autour de Eve, il faut commencer à remplir nos objectifs : faire des relevés scientifiques de Eve et Gilly sa mini lune.
On ouvre la baie cargo pour pouvoir libérer la première sonde.

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Celle dédiée à Eve est équipé d'un petit propulseur classique et d'un système de parachute.
Eve étant une planète atmosphérique l’atterrissage ne devrait pas poser de gros problème.
Le propulseur est là pour la manœuvre de désorbitation et de freinage au cas où le très (très) forte gravité de Eve jouerai des tours.

C'est parti
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Rentrée atmosphérique
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Le système de parachute marche bien
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Atterrissage réussi, les pieds bien plantés dans le sable violet de Eve
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Le transfert de données se passent sans soucis, la première partie de la mission est un succès !
A suivre...

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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 13 mars 2015, 09:14

Maintenant il faut passer à la deuxième partie de la mission : l'étude préliminaire de Gilly.

En route !

Un petit transfert simple :
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En approche finale de cette lune/gros astéroïde
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La deuxième sonde est équipé d'un moteur ionique : suffisant pour la gravité quasi-nulle de Gilly.
Après la mise en orbite, on largue celle-ci et....premier problème : l'équipe d'ingénieur en charge de cette sonde a monter le système de guidage à l'envers !

Bref, il a fallu le court circuiter pour prendre les commandes manuelles à distance et effectuer les manœuvres voulues .

En phase finale d'approche, les pieds sortis
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Atterrissage réussi !
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On commence l'analyse des échantillons récoltés et des mesures faites et on se prépare au transfert......second problème : pas de système de transmission installés !
Il y a des têtes qui vont tomber au retour sur Kerbin !

(...)

Il serait vraiment dommage après tout se chemin de renoncer à un contrat juteux pour un petit oubli dans la conception de la sonde.
L'équipage du Nemrod 4 a donc planché sur le sujet. Problème délicat car cette sonde est vraiment minimaliste : pas de docks, pas de rcs.

Il a songé à faire atterrir le vaisseau pour récupérer manuellement les données de la sonde mais après analyse l'opération s’avérait assez risqué.
Le relief chaotique de Gilly conjugué à sa très faible gravité ne permettait pas de réunir les paramètres de sécurité suffisants.

Il ont pensé à utiliser le grappin pour saisir la sonde. Solution élégante mais la crainte d'écraser celle-ci était trop forte.

Une solution intermédiaire est apparu : Ruben, le pilote, est un grand amateur de balltrap, il a pensé a attraper au vol la sonde et récupérer les données grâce à une sortie extra véhiculaire.

POOOOOL ! ....euh décollage !
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Amuses tes amis en programmant une interception ^^
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On s'approche le plus possible
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Ruben effectue une EVA et pousse la sonde dans la soute pour en extraire les données.
N'ayant pas les moyens d'arrimer celle-ci correctement, elle sera libérer par la suite.
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Maintenant que les données sont sauves, il faut rentrer.
Le petit rodéo imprévu a usé un peu de carburant mais les appareils indiquent qu'ils restent un peu plus de 2000 deltaV-équivalent de carburant.
Cela devrait suffire pour rejoindre Kerbin.

Le retour s'est bien passé à l'exception d'une manœuvre une peu foireuse qui nous a couté beaucoup : il va falloir faire un touchdown direct !
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Ça chauffe !
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Ouverture des parachutes
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Stabilisation de l'appareil.
Il est dommage de ne pas avoir pu choisir d'atterrir sur un terrain solide. On aurait pu tester la nouvelle configuration des trains d'atterrissages.
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Amerrissage !
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L'appareil a mal supporté le choc avec l'océan mais l'équipage est sauf !
En attendant les secours, ils en profitent pour se détendre un peu dans leur jacuzzi de fortune.

Voilà la conclusion de la mission EVE 1.
JOOL me tend les bras maintenant !

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Message par TheGeekno72 » 13 mars 2015, 17:21

Punaise, le RP de malade ! Appelle moi si tu veux un agent marketing lol :lol:
Tes vaisseaux sont rès complet mais je ne pourrais jamais en faire autant parce que moi et les manoeuvres optimisée ca fait deux mais quand on me dit DES NUKES la je peux faire un bon vaisseau qui va loin !! ^^ (exemple le Communi-Sat III pub au cas ou tu en aurais besoin lol :D )
PDG de la 72 AeroSpace CORP. Apprenti ingénieur aérospatial
Fan de Bob Lennon, Bill Silverlight, Aypierre et tous ceux qui ont du YOLOSWAG. Comme moi.
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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 13 mars 2015, 21:31

Merci 72 mais j'ai déjà un bureau marketing & bullshit au sein du Sp² ^^.
Maintenant une petite aventure qui vit la naissance d'une nouvelle gamme de vaisseau mais aussi son abandon.


Partie 1 :

D’habitude, on narre uniquement ses réussites, là je vais vous raconter un fiasco.
Pourtant, je partais plutôt confiant.

Mission JOOL 1

Durant la mission EVE, l'équipe d'ingénieurs Sp² a conçu une nouvelle gamme de navette dérivée de la série Nemrod : la gamme Philippidès.
Il s'agit d'une navette privée du grappin faisant la spécificité des Nemrod mais dotée de réacteurs atmosphériques pour pouvoir rejoindre facilement le KSC au retour de mission.

Les premiers tests se sont révélés concluants.
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Ici le Phily 2 en vol d'essai :

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Le retour se passe sans accrochage :

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Fort de cette expérience, le Phily 3 est rapidement armé et chargé avec ses sondes d'exploration.
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Sur le départ :
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La mise en orbite routinière :
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Et maintenant, en route pour la géante gazeuse et ses multiples lunes !
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Était-ce la faute de la fenêtre de tir ? Ou de la sous estimation de la durée du trajet (2 ans !) ?
Quoi qu'il en soit, en approche de l'interception du système Joolien les jauges de carburant sont dans le rouge !

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La dernière poussée permet de se rapprocher un peu mais malheureusement n'est pas assez puissante pour circulariser l'orbite.
La navette reste sur une trajectoire hyperbolique, elle frôlera Jool mais s'échappera ensuite du système !

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L'équipe sachant la mission compromise décide alors de jouer son va-tout : elle va larguer les sondes au plus proche et programmer une manœuvre d'approche.
La mission Jool 1 avait 3 objectifs : Jool, Bop et Pol.

Ouverture de la soute :
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Largage des sondes :
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Et à ce moment précis, le fiasco total se dessine.
Ces sondes sont conçues pour être larguées en orbite basse du corps céleste cible.
Le petit moteur à ion permet d'effectuer les petites manœuvres de désorbitations et d'atterrissages, pas plus.

Là, on demande au sonde de faire des manœuvres d'interceptions et de circularisations.
Malheureusement la charge électrique s'épuise beaucoup trop rapidement avec le système de navigation et de stabilisation branché.
La batterie se vide et les panneaux solaires ne peuvent compenser la charge (Jool est très éloigné de Kerbol).

Une sonde arrivera tout de même a approcher Bop mais sans se faire attraper...
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Bref, résultat de la mission :

- Une navette à 240K avec 2 kerbals en panne sèche en orbite autour de Kerbol.
- Deux sondes perdues et inutiles dans le système Joolien.
- Une mission de sauvetage à monter et une autre mission pour terminer les contrats.
Partie 2 :

Suite et fin de l'échec de la mission JOOL 1 :

Une mission de sauvetage a été monté rapidement : en effet, les scientifiques ont calculés les 2 points d'interceptions possibles suivant la trajectoires de Phily 3.
Le premier reste raisonnable mais le deuxième se situe à 15 ans ! Il ne faut pas attendre.

Le choix s'est fait sur un ravitaillement : il serait dommage de perdre le Phily !
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Un ravitailleur de type Taurus adapté est lancé :

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Mise en orbite :
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Les 2 réservoirs centraux sont dédiés au Phily.
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En route pour l'interception :
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Le phily !
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manœuvre périlleuse
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Alors, évidemment j'ai voulu faire mon malin en voulant me docker au port interne au lieu d’utiliser une pince (je ne voulais pas abimer la coque ^^')
Résultats des courses : plus d'une heure pour y arriver !
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Finalement le ravitaillement a pu se dérouler et le Phily peut entamer son retour sur Kerbin tandis que le Taurus est laissé sur place.
La manœuvres ont consommé l'intégralité du carburant (une fois de plus) et l'espoir d'utiliser les moteurs atmosphériques disparait.
Heureusement, la portance de la navette est telle, qu'un atterrissage en planant est envisageable si le lieu le permet (plus de carburant pour choisir, je le rappelle)
On largue les lourds moteurs nucléaires et on laisse la gravité et les frottements faire leurs offices.

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Un peu de chance ne fait pas mal : le point d'impact prévu se situe en plaine !
On sort les 4 ....euh....non...3 trains d'atterrissages.

MERDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEUHHH ! quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ! (je n'ai aucune idée de comment il a disparu celui-ci :/)
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Ça va être tendu ! On réduit la vitesse en effectuant des série de petits braquages, le parachute étant exclu dans ces conditions.
Puis Jebediah a une idée ! il reste un peu de monopropellant : il switch les commandes en mode docking et utilise les rcs puis freiner au maximum

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L'impact reste rude mais la navette n'explose pas en intégralité : la panne sèche peut être bénéfique !
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Après plus de dix années dans l'espace, nos valeureux Kerbals sont de retour !
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fin.

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Re: Programme Space Sapins - SP² - [0.9]

Message par Fredator » 16 mars 2015, 09:42

J'ai hésité à vous montrer la construction de ma première station ainsi que la conception du premier prototype de vaisseau de classe Herakles.
C'est un peu long et pas forcement intéressant.
Ensuite je me suis dis : "Fred tu racontes ta carrière en 0.9 et ce sont des éléments qui vont apparaitre plus tard, autant les mettre".
J'ai donc trouvé un petit compromis : je vous les met en "spoiler" mais vous les regardez si le cœur vous en dit.
La "vraie" suite de mon épopée se fera au travers du récit de la mission MegaJool 1.

Ah oui, une chose que j'ai oublié de préciser : les aventures que je raconte se sont déjà déroulées.
Ce ne sont pas des aventures "en cours", je signalerai quand je rattraperai le moment présent (là, je suis plutôt en pause de KSP).
Donc, vous l'avez surement déjà deviné, toutes les écritures en "bleues" sont à postériori.

En attendant :


STATION X :
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Pour améliorer l'efficacité du programme Sp², il a été décidé de bâtir une station en orbite basse de Kerbin (environ 300 km).
Celle-ci pourra servir de hub avant de partir vers de lointaines missions. Elle sera aussi le lieu de diverses expérimentations et sera multifonctions.
Cette station sera de facture simple et sans fioriture afin de diminuer les coûts. En effet, des premières études de conceptions à base des nouvelles pièces MK2 et MK3 était à l'étude mais s'avéraient trop onéreuses.
De même que le transport des modules complémentaires se fera aussi de manière classique (le gros porteur MK3 n'étant pas encore au point)

La base de la station est prête à être mise en orbite.

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En route vers l'orbite de garage :
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Base de la station en place.
Elle est autonome énergétiquement et dispose d'un habitat simple et de moyens de communication
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Un petite vue de la coupole.
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Afin d'y adjoindre d'autre module (laboratoire, hub, habitats ...), il faut penser à l'énergie.
Il se catastrophique de tomber en panne par l'ajout d'un module trop gourmand !

L'envoi d'un première branche de panneaux solaires est donc programmé.
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La charge utile est tellement légère que la vitesse d'ascension très - trop ?- rapide fait chauffer la fusée.
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En orbite en train de caler la manœuvre de rdv.
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RDV !
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Docking en finesse (merdeuuuuuuuuh j'ai oublié le dock de ce côté :( )
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Déploiements des panneaux XL
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La station est maintenant prête à accueillir d'autres modules !
Prototypage de la classe HERAKLES
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Une petite parenthèse dans l'assemblage de ma station orbitale.
J'avais mentionné des pré-études d'un maxi-SSTO livreur de modules lourds : ma jeune équipe de la branche avionique avait commencé des essais de prototypes.
Celle-ci étant encore assez inexpérimentée (mais néanmoins fougueuse) les résultats ne sont pas à la hauteur de l'attente.

Quelques clichés ont fuité des premières tentatives.

Le premier engin s'est effondré sous son propre poids : la charge utile simulée de la soute représente tout de même un jumbo orange et demi (soit 54t !)
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Quelques renforts structurels plus tard, le prototype tente de décoller avec un TWR à peine suffisant de 1.05
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Malheureusement, après plusieurs essais infructueux et modifications diverses de la portances et/ou mode de propulsion, l'engin n'a jamais pu prendre son envol plus de quelques centaines de mètres.
Après plusieurs échecs bénins, la version 0.5 de l'appareil a fini sa course dans le bâtiment où se trouvait la division R&D avionique
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Offre d'emploi :
Recherche jeunes ingénieurs en aérospatiale motivés, orphelins et célibataires de préférence.
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Le programme Sp² s'est ré-orienté vers une solution plus classique de lanceur vertical.
Les modèles déjà existants peuvent remplir les missions de mise en orbite standard mais dans un souci d'efficacité des nouveaux lanceurs sont à l'étude.
Il faut savoir que les matériels destinés à la station sont sensibles et fragiles et l'utilisation de soutes protectrices est fortement recommandée.

Le projet Herakles est né de ce constat.
Le premier prototype est rapidement mis au point (l'équipe R&D de conception de lanceurs est plus aguerrie que feue l'équipe avionique).

Le vol d'essai d'Herakles 0.1 : charge utile de 54t.
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L'engin décolle sans problème et est stable dans son ascension
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En haute atmosphère :
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Mise en orbite réussie !
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Il faut maintenant peaufiner les détails pour en faire un nouveau standard.
A suivre.

La mission MEGAJOOL 1 va débuter !

Teaser
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